Histoire de la sophrologie

La Sophrologie a été créée dans les années 1960 par un neuropsychiatre d’origine colombienne, Alphonso CAYCEDO.
‏Dans son activité professionnelle de neuropsychiatre, le Pr CAYCEDO s’aperçoit que la Conscience peut être modifiée à des fins médicales (par des traitements insuliniques ou des électrochocs..).

‏Après des années d’études et de recherche sur la Conscience humaine, et les moyens d’en faire varier les états et les niveaux, le Pr CAYCEDO se pose une question : « Puis-je connaître la conscience en harmonie ? Sans une altération physiologique de l’organisme ? »

‏C’est alors qu’il s’emploie, à l’aide de techniques aussi variées que la Méditation, le Yoga, le Zen japonais, l’Hypnose, à mettre en marche un mouvement médical pour rechercher la « Conscience en harmonie ».

Et surtout en ayant un rapport au patient plus respectueux de sa personnalité et de ses spécificités…

 

‏Ainsi naît la Sophrologie !

Histoire de la sophrologie

Alphonso CAYCEDO poursuivra ses recherches, poussées toujours plus loin dans l’étude scientifique de la Conscience humaine, et mettra au point 12 degrés dans la sophrologie, enseignés suivant une chronologie bien précise, afin de mobiliser en profondeur et de façon évolutive le positif de toutes les capacités de la conscience.

Il établit alors 2 branches principales dans la Sophrologie :

  • La branche médicale,
  • La branche sociale.

Le Sophrologue tend aujourd’hui et surtout dans un premier temps à travailler sur les 1er et second degré.
‏ • La visée des exercices du 1er degré est de renforcer l’intégration du schéma corporel :

En effet, la plupart d’entre nous vit dans un corps transparent, non écouté, si ce n’est quand il exprime la douleur. Notre corps et toutes les sensations qu’il perçoit sont pourtant à la base de tous nos processus de conscience. Les exercices de relaxation dynamique vont amener la conscience sur tout les phénomènes ressentis, dans tout le corps, et dans l’instant présent.
‏ • Le 2ème degré entraînera la forme du corps : comment amener la conscience sur la forme du corps, ses volumes et ses reliefs. Il s’agit là d’un travail sur « l’enveloppe corporelle ».